Alors qu'elle partira "à la recherche de sa remplaçante" à partir du 19 octobre dans le docu-réalité de M6 "Top Model 2007", Adriana Karembeu a pris le temps dimanche de tordre le cou à quelques rumeurs qui la disaient éloignée de son mari, le footballeur champion du monde Christian Karembeu.
"J'ai été profondément émue et touchée par cette histoire", a confié la top-modèle slovaque, dans une interview accordée à l'Associated Press, en référence à l'altercation qu'a eue son mari avec un supposé aspirant, le 26 septembre dernier. Un fait divers largement relayé et commenté par la presse "people".
"Mes vrais amis et tous les proches qui me connaissent bien savent comment Christian (Karembeu) est l'homme de ma vie et combien il l'a transformée, et ce, dès le jour où je l'ai connu", a poursuivi Adriana Karembeu, manifestement émue mais s'exprimant avec sa réserve habituelle.
Quant à l'idée de devenir maman, et contrairement à ce qu'elle affirmait depuis son mariage en 1998, son point de vue sur la maternité semble avoir changé. "C'est aussi quelque chose qui me surprend moi-même", continue celle qui est aussi ambassadrice de la Croix-Rouge française.
Si, jusqu'à récemment, elle s'opposait à l'idée d'être mère, la top-modèle de 36 ans reconnaît qu'un changement s'est opéré en elle. "De plus en plus souvent, le matin, au réveil, je ressens quelque chose qui m'interpelle, et même quelque chose qui m'excite", confie-t-elle encore à propos de la maternité. Et d'ajouter que, "le temps faisant, bientôt je serai prête à devenir maman".
Affichage des articles dont le libellé est Adriana Karembeu. Afficher tous les articles
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16 octobre 2007
Adriana Karembeu, toujours amoureuse et peut-être future maman
Alors qu'elle partira "à la recherche de sa remplaçante" à partir du 19 octobre dans le docu-réalité de M6 "Top Model 2007", Adriana Karembeu a pris le temps dimanche de tordre le cou à quelques rumeurs qui la disaient éloignée de son mari, le footballeur champion du monde Christian Karembeu.
"J'ai été profondément émue et touchée par cette histoire", a confié la top-modèle slovaque, dans une interview accordée à l'Associated Press, en référence à l'altercation qu'a eue son mari avec un supposé aspirant, le 26 septembre dernier. Un fait divers largement relayé et commenté par la presse "people".
"Mes vrais amis et tous les proches qui me connaissent bien savent comment Christian (Karembeu) est l'homme de ma vie et combien il l'a transformée, et ce, dès le jour où je l'ai connu", a poursuivi Adriana Karembeu, manifestement émue mais s'exprimant avec sa réserve habituelle.
Quant à l'idée de devenir maman, et contrairement à ce qu'elle affirmait depuis son mariage en 1998, son point de vue sur la maternité semble avoir changé. "C'est aussi quelque chose qui me surprend moi-même", continue celle qui est aussi ambassadrice de la Croix-Rouge française.
Si, jusqu'à récemment, elle s'opposait à l'idée d'être mère, la top-modèle de 36 ans reconnaît qu'un changement s'est opéré en elle. "De plus en plus souvent, le matin, au réveil, je ressens quelque chose qui m'interpelle, et même quelque chose qui m'excite", confie-t-elle encore à propos de la maternité. Et d'ajouter que, "le temps faisant, bientôt je serai prête à devenir maman".
"J'ai été profondément émue et touchée par cette histoire", a confié la top-modèle slovaque, dans une interview accordée à l'Associated Press, en référence à l'altercation qu'a eue son mari avec un supposé aspirant, le 26 septembre dernier. Un fait divers largement relayé et commenté par la presse "people".
"Mes vrais amis et tous les proches qui me connaissent bien savent comment Christian (Karembeu) est l'homme de ma vie et combien il l'a transformée, et ce, dès le jour où je l'ai connu", a poursuivi Adriana Karembeu, manifestement émue mais s'exprimant avec sa réserve habituelle.
Quant à l'idée de devenir maman, et contrairement à ce qu'elle affirmait depuis son mariage en 1998, son point de vue sur la maternité semble avoir changé. "C'est aussi quelque chose qui me surprend moi-même", continue celle qui est aussi ambassadrice de la Croix-Rouge française.
Si, jusqu'à récemment, elle s'opposait à l'idée d'être mère, la top-modèle de 36 ans reconnaît qu'un changement s'est opéré en elle. "De plus en plus souvent, le matin, au réveil, je ressens quelque chose qui m'interpelle, et même quelque chose qui m'excite", confie-t-elle encore à propos de la maternité. Et d'ajouter que, "le temps faisant, bientôt je serai prête à devenir maman".
08 juin 2007
La quête de la Croix-Rouge, dopée encore cette année par Adriana Karembeu
La Croix-Rouge française a rendez-vous ce week-end avec les donateurs pour sa quête nationale, dopée pour la septième année consécutive par le charme du mannequin Adriana Karembeu, dont le soutien a en moyenne permis de récolter quelque 300.000 euros supplémentaires chaque année.
C'était le 29 mai, sur la pelouse bien taillée du siège de la Croix-Rouge à Paris, qui inaugurait ses nouveaux locaux.
Impossible de ne pas la trouver: au milieu du jardin, outre les photographes professionnels, une nuée de bénévoles et de dirigeants l'entouraient, qui pour échanger quelques mots, qui pour une photo aux côtés de la blonde platine, dont le site officiel affirme que ses jambes font 1,26 mètre.
"Abusez de moi", a-t-elle dit un peu plus tard sans rougir, lors d'une conférence de presse où elle a promis de continuer à soutenir la Croix-Rouge.
La campagne autour d'Adriana Karembeu - "Si Adriana n'est pas là, Robert s'en chargera" - déclinée depuis sept ans avec humour autour de ses charmes, a fait passer les dons annuels récoltés lors de la quête de 3,7 à 4 millions d'euros, selon le porte-parole Jean-François Riffaud.
Elle a aussi permis, assure-t-on à la Croix-Rouge, de dépoussiérer l'image d'une Croix-Rouge "trop institutionnelle" et d'une quête au tronc un peu vieux jeu qui dure depuis 1934.
"La Croix-Rouge avait les défauts de ses qualités : c'est une grande maison qui impressionne un peu, avec une forte notoriété qui crée de la distance", dit-il.
La campagne a installé "un jeu de sens entre le papier glacé, le glamour et la réalité du terrain", ajoute-t-il. Ainsi, le premier spot, en 2003, où un conducteur subjugué par la blonde secouriste baisse sa vitre pour donner et tombe sur son co-équipier Robert, de son vrai nom Jean-Louis Annaloro, artiste et véritable bénévole de 47 ans.
Cette année, le mannequin joue dans un nouveau spot - mettant en scène le réveil parfois difficile des quêteurs - et sollicitera samedi des dons sur le marché de la rue Montorgueil à Paris (IIe). Toujours dans le quartier Montorgueil, elle sera à partir de 11H00 à la Brasserie des Petits Carreaux (17, rue des Petits Carreaux) avec "un petit groupe d’amis parmi lesquels Clémentine Célarié, Maruschka Detmers, Charlotte Valandrey, Sébastien Cauet, Nikos Aliagas".
Robert, lui, quêtera à Vichy, en perruque blonde.
Ailleurs, la Croix-Rouge a voulu une quête festive, avec des spectacles de rue, ou bien, comme à Martigues, une tentative de record : "Le public sera invité à construire la plus grande Croix-Rouge en papier du monde et de réaliser la plus importante collecte de dons".
Les dons collectés par quelque 20.000 bénévoles sont destinés aux actions des 1.075 délégations locales de la Croix-Rouge : hébergement d'urgence, aide alimentaire, Samu sociaux, lutte contre l'illettrisme... Selon la Croix-Rouge, 90% de son action sociale est financée par des dons privés.
C'était le 29 mai, sur la pelouse bien taillée du siège de la Croix-Rouge à Paris, qui inaugurait ses nouveaux locaux.
Impossible de ne pas la trouver: au milieu du jardin, outre les photographes professionnels, une nuée de bénévoles et de dirigeants l'entouraient, qui pour échanger quelques mots, qui pour une photo aux côtés de la blonde platine, dont le site officiel affirme que ses jambes font 1,26 mètre.
"Abusez de moi", a-t-elle dit un peu plus tard sans rougir, lors d'une conférence de presse où elle a promis de continuer à soutenir la Croix-Rouge.
La campagne autour d'Adriana Karembeu - "Si Adriana n'est pas là, Robert s'en chargera" - déclinée depuis sept ans avec humour autour de ses charmes, a fait passer les dons annuels récoltés lors de la quête de 3,7 à 4 millions d'euros, selon le porte-parole Jean-François Riffaud.
Elle a aussi permis, assure-t-on à la Croix-Rouge, de dépoussiérer l'image d'une Croix-Rouge "trop institutionnelle" et d'une quête au tronc un peu vieux jeu qui dure depuis 1934.
"La Croix-Rouge avait les défauts de ses qualités : c'est une grande maison qui impressionne un peu, avec une forte notoriété qui crée de la distance", dit-il.
La campagne a installé "un jeu de sens entre le papier glacé, le glamour et la réalité du terrain", ajoute-t-il. Ainsi, le premier spot, en 2003, où un conducteur subjugué par la blonde secouriste baisse sa vitre pour donner et tombe sur son co-équipier Robert, de son vrai nom Jean-Louis Annaloro, artiste et véritable bénévole de 47 ans.
Cette année, le mannequin joue dans un nouveau spot - mettant en scène le réveil parfois difficile des quêteurs - et sollicitera samedi des dons sur le marché de la rue Montorgueil à Paris (IIe). Toujours dans le quartier Montorgueil, elle sera à partir de 11H00 à la Brasserie des Petits Carreaux (17, rue des Petits Carreaux) avec "un petit groupe d’amis parmi lesquels Clémentine Célarié, Maruschka Detmers, Charlotte Valandrey, Sébastien Cauet, Nikos Aliagas".
Robert, lui, quêtera à Vichy, en perruque blonde.
Ailleurs, la Croix-Rouge a voulu une quête festive, avec des spectacles de rue, ou bien, comme à Martigues, une tentative de record : "Le public sera invité à construire la plus grande Croix-Rouge en papier du monde et de réaliser la plus importante collecte de dons".
Les dons collectés par quelque 20.000 bénévoles sont destinés aux actions des 1.075 délégations locales de la Croix-Rouge : hébergement d'urgence, aide alimentaire, Samu sociaux, lutte contre l'illettrisme... Selon la Croix-Rouge, 90% de son action sociale est financée par des dons privés.
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