La nomination unique de Marlène Mourreau qui semblait devoir déboucher sur son repêchage s'est conclue par son élimination à 55% des voix...
1ère Compagnie n'a réuni que 6,36 millions de téléspectateurs vendredi soir, alors que la mise en avant de la bombe du programme semblait promettre un meilleur score. Cette surprise s'explique sans doute par le côté super latin de la belle Marlène qui faisait finalement trop le show pour les Français.
Elle expliquait au Parisien avant son élimination : "C'était tellement difficile de nominer trois recrues que j'aurais dû désobéir au commandant dès le début et refuser de donner ces trois noms. Je serais allée au gnouf un peu plus tôt, c'est tout ! De toute façon, dès le départ, je me doutais qu'accepter ses ordres me causerait des problèmes. J'aurais dû être productrice d'émissions de téléréalité, tiens..." Elle ajoute à la question de savoir si elle a peur de quitter l'aventure : "En téléréalité, tout est un peu manipulé, on reste ou on part en fonction de ce qui intéresse la production, non ? Pour ça, il faut donner du show... C'est énormément de travail. Il faut se contrôler tout en étant naturel, ne pas en faire trop, ne pas être isolé du groupe... C'est un travail assez spécial." Un travail ? Demande le journaliste. "Bien sûr que c'est un travail. On a tous signé un contrat d'engagement, non ?".
On apprenait également ses motivations pour participer à l'émission dans Téléstar : "Une grande émission de variétés, très show, en prime time, le samedi soir... sur TF1. Pourquoi pas ?" Elle précisait aussi : "Soyons clairs : je suis une femme d'argent (Rires). Avec le Loft espagnol, j'ai déjà gagné 60 000 euros. De l'argent pour mon héritier, même si un contrôle fiscal est déjà passé par là. Mais cette fois-ci, je ne le fais pas pour ça (mais pour obtenir un poste sur TF1, ndlr). J'en gagne plus en faisant mes émissions en Espagne."
01 mars 2005
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