La comédienne et chanteuse Arielle Dombasle sera à l'affiche du Crazy Horse, le célèbre temple parisien du "nu chic", à partir de dimanche soir jusqu'au 18 février, pour 17 shows, dans une série de tableaux érotiques accompagnées des légendaires danseuses de ce cadre inattendu.
Seule ou en compagnie des danseuses du Crazy, Arielle Dombasle chantera cinq chansons de son dernier album "C'est si bon", qu'elle a dévoilé dans un club de New York cet automne, mais qu'elle n'a pas encore interprété sur scène en France.
Dans des chorégraphies "sexy et sensuelles" écrites spécialement pour elle, la comédienne et chanteuse sera mise en scène par les créateurs Vincent Darré et Ali Mahdavi.
Selon la tradition, les danseuses du Crazy Horse ont toutes un nom de scène. Malgré son statut de "guest star", Arielle Dombasle n'échappe à la règle et a été rebaptisée Dolorès Sugar Rose.
"Le Crazy Horse sublime la femme. Le nu y est très élaboré. On est sculpté et habillé par la lumière. Il n'y a aucune crudité. On se sent bien dans ce climat", confie à l'AFP Arielle Dombasle, "incarnation du chic et du glamour" selon le mythique établissement fondé par Alain Bernardin.
"Je veux aussi démontrer que l'érotisme ne s'arrête pas à l'âge de 14 ans pour vendre des shampooings", ajoute-t-elle.
"Je prends cette expérience comme un rôle, comme si j'étais le modèle d'un peintre ou d'un sculpteur. La carrière d'une actrice doit se dérouler dans la liberté et l'électricité", souligne Arielle Dombasle qui se déclare "encouragée et protégée" dans cette expérience par son époux, le philosophe Bernard-Henri Lévy.
Le Crazy Horse a repris récemment la tradition des performances réalisées par des personnalités invitées. En octobre, la danseuse et mannequin américaine Dita Von Teese, icône glamour et excentrique, épouse du chanteur Marilyn Manson, a donné pendant huit jours son show sexy, "Le bain", effeuillage dans les règles de l'art, autour d'une baignoire XIXe, dans un nuage de bulles de savon.
09 février 2007
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire