La chanteuse Britney Spears a revu hier ses deux enfants pendant que son père a fait de son mieux pour mettre fin aux discussions concernant les droits civils de sa fille alors qu'il possède actuellement le contrôle des affaires de Britney.
Sean Preston, 2 ans et Jayden James, 1 an, ont donc revu leur maman pour la seconde fois en trois jours, un garde du corps de Kevin Federline ayant conduit les deux garçons jusque chez leur mère à Studio House.
Samedi en effet, Britney avait déjà eu la chance de revoir ses deux bambins pour la toute première fois depuis le 3 janvier dernier après avoir négocié un arrangement pour les visites avec son ex-mari.
Pendant ce temps, les avocats du père de Britney, Jamie Spears, ont déposé devant la cour fédéral une autre série de documents, insistant auprès du juge pour rapidement mettre un terme aux soupçons concernant le droit de Jamie de contrôler la fortune de sa fille qui s'élève à près de 100 millions de dollars et pour que celui-ci reste co-responsable des biens de Britney.
Jon Eardley, un avocat qui clame être un représentant de la pop star, a été sommé par le juge Phillip Gutierrez de rendre compte du dossier au 22 février en expliquant les enjeux des droits civils de la star. Mais Eardley a déclaré au juge vendredi qu'il lui fallait davantage de temps pour s'occuper du cas.
Dans les documents légaux, Eardley clame que Britney aurait fait appel à lui le 12 février avant que son téléphone ne soit dissimulé et sa ligne coupée. Eardley a continué en maintenant que ce cas de tutelle violait les droits constitutionnels de la chanteuse.
Mais lundi, les avocats en charge de l'affaire de tutelle, ont affirmé que Eardley, en plus de n'avoir pas présenté le dossier à la cour dans le temps imparti, n'avait en plus pas réussi à prouver qu'il était bel et bien un avocat de Britney.
Une motion a été votée pour que l'affaire soit immédiatement renvoyée jusqu'au haut commissaire de la cour supérieure de Los Angeles, Reva Goetz, et pour que Eardley soit obligé à rembourser 43 000 dollars de frais d'avocats.
Tandis que ce problème de droits civils reste irrésolu pour la cour fédérale, le cas de tutelle a encore été reporté à plus tard.
"Cette cour ne peut rien faire aujourd'hui. Nous sommes face à un cas en suspens." a déclaré Goetz durant l'audience de vendredi.
Attendons de voir comment va se terminer cette affaire judiciaire pour le moins emmêlée !
26 février 2008
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