On avait laissé Britney Spears en pleurs dans les coulisses des MTV Video Music Awards le 9 septembre dernier après un come back raté. A tel point qu'aujourd'hui son Label, Jive, aurait interdit à MTV de diffuser sa prestation dans les versions de l?émission destinées aux pays étrangers. Pourtant il est déjà trop tard, la vidéo étant visible sur de nombreux sites internet.
Et la star reste malgré elle sur le devant de la scène. Ses managers ont décidé hier de lâcher la chanteuse. "Nous confirmons les rumeurs des médias, nous avons stoppé notre collaboration professionnelle avec Britney Spears" a annoncé un communiqué de The Firm, la société qui la manage. "Nous croyons que Britney a un énorme talent et son dernier disque est terrible. Mais les circonstances ne nous permettent pas de faire normalement notre travail. Nous lui souhaitons le meilleur." Le communiqué ne précise pas quelles sont ces circonstances. Si les MVMA sont dans toutes les têtes, ce n'est pas la seule raison.
Quelques heures avant l'annonce de ses managers, c'est la garde de ses enfants que la chanteuse était en train de perdre. Dans son procès contre son ex-mari Kevin Federline, un ancien garde du corps du couple a témoigné hier en enfonçant un peu plus la chanteuse. Tony Barretto, 28 ans, a affirmé au tribunal que "Britney avait de gros problèmes de nudité, d'usage de drogues et de problèmes de sécurité avec ses enfants."
Pour couronner le tout, c'est également Laura Wasser, son avocate qui la quitte. Même si celle-ci reste pro en défendant la chanteuse jusqu'au bout : "Ce n'est pas un témoin fiable" a dénoncé l'avocate à propos du garde du corps. Pourtant elle s'en va et se fait remplacer. "Je ne laisserai personne dire que nous escroquons Britney. Dans beaucoup de relations entre avocat et client, il y a un moment où il faut injecter du sang neuf." Pas sûr que ce coup de fouet soit celui dont elle ait besoin.
18 septembre 2007
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