Nouveau rebondissement dans ce qui devient l’affaire Hilton. Au lendemain de sa mise en liberté de la prison pour femmes de Lynwood, en Californie, le juge Michael T. Sauer, qui l'avait condamnée à 45 jours, a estimé que Paris Hilton devait purger sa peine comme prévu, sans bénéficier du programme de prison à domicile.
C’est avec surprise, et stupéfaction, que le procureur avait appris la mise en liberté de Paris Hilton pour des raisons médicales, selon le shérif Lee Baca, 5 jours après son incarcération. Elle était depuis assignée à résidence et devait porter en permanence un bracelet électronique.
Dernier épisode en date, le procureur a saisi le juge ce vendredi. Ce dernier a convoqué Paris Hilton qui a été conduite au tribunal par une voiture de police, menottée, en pleurs, pas maquillée ni coiffée, et portant des vêtements « inhabituels » pour une héritière de son rang.
Verdict sans appel, retour immédiat en prison. Le juge a tenu à rappeler que lors de son premier verdict, il avait bien précisé qu’elle ne pourrait pas purger sa peine à domicile, munie d’un bracelet électronique.
Elle a été immédiatement conduite dans un centre de soins de l’administration pénitentiaires pour y effectuer une batterie d’examens médicaux et psychiatriques. Les résultats de ces examens permettront de déterminer le lieu de détention de Paris Hilton.
A la lecture du verdict, Paris Hilton, en pleurs, a crié « Ce n’est pas juste ! », puis se tournant vers sa mère : « Maman !, Maman ! »
11 juin 2007
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