15 janvier 2008

Keira Knightley refuse de se faire passer la bague au doigt

La relation amoureuse de Keira Knightley semble avoir pris du plomb dans l'aile depuis que la belle a refusé de porter un anneau très ancien que son petit-ami, Rupert Friend, lui a acheté tout spécialement. S'il l'a mal pris, on comprend...

La star d'Orgueil et Préjugés, Rupert Friend, a offert cet ancien anneau d'or blanc à Keira comme "symbole de leur amour" mais le jeune homme a finalement été blessé dans son amour-propre par la décision de Keira qui a préféré à cette bague un modèle Chanel des plus coûteux... Plutôt garce comme comportement... Alors qu'est-ce qui a pris à la belle?

Une source proche du couple déclare : "Rupert a acheté cet anneau très ancien à Keira, une dépense considérable, et bien que ce ne soit pas une bague de fiançailles, il était censé symboliser leur amour l'un pour l'autre. Mais, en tant qu'égérie de Chanel, Keira a manifestement été inondée de toutes sortes de bijoux venant directement des dernières collections de la marque et elle a sûrement choisi de porter régulièrement l'un de leurs anneaux plutôt que celui que Rupert lui a acheté. C'était pourtant un moyen pour Rupert de faire savoir à Keira les sentiments qu'il avait pour elle." Pauvre bougre...

Rupert et Keira ? qui sortiraient ensemble depuis décembre 2005 désormais ? déclarent à présent tenter de remonter la pente suite à ce regrettable incident. Rupert passera-t-il l'éponge facilement?

La source a ajouté au Daily Express : "Voilà venu le temps de la mise à l'épreuve pour Keira et Rupert. Ce sont tous les deux de jeunes acteurs dont les carrières prennent plus de place dans leur vie que leur relation amoureuse et c'est pourquoi leur liaison ne sera jamais simple. Avec un peu de chance, ils parviendront peut-être à combiner les deux."

Enfin quand on y pense, Keira a dix doigts... Elle aurait peut-être pu faire l'effort d'en sacrifier un à l'anneau de Rupert et il lui en aurait resté encore neuf autres pour promouvoir Chanel... Enfin, pour ce qu'on en dit, nous...

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